Le crime de l'Orient-Express, d'Agatha Christie

Au moins la quinzième fois que je relis ce classique inégalé du roman policier, du whodunit de la "reine du crime", avec toujours autant de plaisir, parce que même s'il n'y a plus l'effet de surprise, j'aime beaucoup la méthode utilisée par Hercule Poirot. Méthodique, comme j'essaie de l'être (un peu seul parfois...) au boulot. Scientifique, au sens de "élaboration d'une hypothèse, tentative de vérification ou d'infirmation de l'hypothèse, conclusion".

Alors certains aiment chercher les indices que l'auteur donne dans le livre pour que le lecteur trouve le(s) coupable(s). Moi, je n'aime pas trop. Dans Le crime de l'Orient-Express, comme très souvent chez Agatha Christie, je n'essaie pas longtemps, parce que le lecteur ne dispose pas des mêmes informations que le héros détective (par exemple ici les détails de l'affaire Armstrong), et que pour lancer des hypothèses, il faut quand même un minimum de matière fiable. Non ?

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En lecture, actuellement, côté sérieux: Le droit d'ingérence est-il légitime ? de François Rubio; et côté détente, Nous les dieux de Bernard Werber, puis Un garçon convenable de Vikram Seth, pour poursuivre sur la littérature indienne.