L'affaire Bernini, de Iain Pears
Publié le 9 Juillet 2007
Troisième aventure de J. Argyll et F. di Stefano, dont la relation platonique évolue vers quelque chose de plus sérieux (mais I. Pears prend son temps, car la construction de cette relation
est l'un des atouts du roman). Cette fois-ci, c'est un milliardaire américain qui est assassiné alors qu'il devait signer des papiers concernant la construction d'un musée gigantesque pour
remplacer celui qu'il avait déjà créé. Qui plus est, certaines des acquisitions du musée "version ancienne" sont curieuses: une ne correspond pas du tout au style des autres oeuvres exposées, et
l'autre est invisible alors que suspectée d'être passée en contrebande. Bref, j'ai trouvé que les protagonistes étaient plus identifiables que dans les deux premiers, peut-être parce que,
expatriation oblige, les patronymes italiens sont plus rares, ce qui évite les confusions. L'intrigue est toujours aussi bien construite, encore un livre très agréable à lire.
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